Il n’y a pas de révolution malheureuse
Marcello Tari

Paru le 21.3.19
200 pages
15 euros
ISBN : 9791097088149

Paru le 21.3.19
200 pages
15 euros
ISBN : 9791097088149

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Il confronte donc les différents mouvements sociaux contemporains : de l’insurrection argentine de 2001 à Occupy Wall Street, des Indignados au mouvement contre la Loi Travail, de la lutte du Val di Susa aux « printemps arabes ». L’auteur repère les moments et les contenus inédits et dissensuels, en s’inscrivant dans un héritage théorique, irrégulier et fragmentaire, tenu de Walter Benjamin à Giorgio Agamben.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Il confronte donc les différents mouvements sociaux contemporains : de l’insurrection argentine de 2001 à Occupy Wall Street, des Indignados au mouvement contre la Loi Travail, de la lutte du Val di Susa aux « printemps arabes ». L’auteur repère les moments et les contenus inédits et dissensuels, en s’inscrivant dans un héritage théorique, irrégulier et fragmentaire, tenu de Walter Benjamin à Giorgio Agamben.

PRESSE ———————————————————–

Il n’y a pas de révolution malheureuse
Marcello Tari

Paru le 21.3.19
200 pages
15 euros
ISBN : 9791097088149

Paru le 21.3.19
200 pages
15 euros
ISBN : 9791097088149

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Il confronte donc les différents mouvements sociaux contemporains : de l’insurrection argentine de 2001 à Occupy Wall Street, des Indignados au mouvement contre la Loi Travail, de la lutte du Val di Susa aux « printemps arabes ». L’auteur repère les moments et les contenus inédits et dissensuels, en s’inscrivant dans un héritage théorique, irrégulier et fragmentaire, tenu de Walter Benjamin à Giorgio Agamben.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Cent ans après la révolution d’Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d’envisager le communisme ? Oui, répond Tarì, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédés pendant un siècle.

Il confronte donc les différents mouvements sociaux contemporains : de l’insurrection argentine de 2001 à Occupy Wall Street, des Indignados au mouvement contre la Loi Travail, de la lutte du Val di Susa aux « printemps arabes ». L’auteur repère les moments et les contenus inédits et dissensuels, en s’inscrivant dans un héritage théorique, irrégulier et fragmentaire, tenu de Walter Benjamin à Giorgio Agamben.

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