Les chemins du communisme libertaire en Espagne – Troisième volume
Myrtille Giménologue

Paru le 23.5.19
260 pages
15 euros
ISBN : 9791097088163

Paru le 23.5.19
260 pages
15 euros
ISBN : 9791097088163

Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

« Jusqu’à quel point le mouvement révolutionnaire fut il responsable de sa propre défaite ? » demandait Vernon Richards en 1953.

Dans l’Espagne de 1936, que restait-il du projet communiste libertaire après le 19 juillet quand en le propulsant en Catalogne, en Aragon et en pays valencien, un certain nombre de militants de la CNT-FAI se rendirent compte qu’ils agissaient à contre-courant de leur organisation ? Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

« Jusqu’à quel point le mouvement révolutionnaire fut il responsable de sa propre défaite ? » demandait Vernon Richards en 1953.

Dans l’Espagne de 1936, que restait-il du projet communiste libertaire après le 19 juillet quand en le propulsant en Catalogne, en Aragon et en pays valencien, un certain nombre de militants de la CNT-FAI se rendirent compte qu’ils agissaient à contre-courant de leur organisation ? Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

PRESSE ———————————————————–

Les chemins du communisme libertaire en Espagne – Troisième volume
Myrtille Giménologue

Paru le 23.5.19
260 pages
15 euros
ISBN : 9791097088163

Paru le 23.5.19
260 pages
15 euros
ISBN : 9791097088163

Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

« Jusqu’à quel point le mouvement révolutionnaire fut il responsable de sa propre défaite ? » demandait Vernon Richards en 1953.

Dans l’Espagne de 1936, que restait-il du projet communiste libertaire après le 19 juillet quand en le propulsant en Catalogne, en Aragon et en pays valencien, un certain nombre de militants de la CNT-FAI se rendirent compte qu’ils agissaient à contre-courant de leur organisation ? Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

« Jusqu’à quel point le mouvement révolutionnaire fut il responsable de sa propre défaite ? » demandait Vernon Richards en 1953.

Dans l’Espagne de 1936, que restait-il du projet communiste libertaire après le 19 juillet quand en le propulsant en Catalogne, en Aragon et en pays valencien, un certain nombre de militants de la CNT-FAI se rendirent compte qu’ils agissaient à contre-courant de leur organisation ? Comment parler encore de sortie du capitalisme quand un syndicat anarcho-syndicaliste « collectivise » le secteur productif sous l’égide de l’Etat, incite la classe ouvrière à s’adapter « au panorama économico-industriel du monde », et repousse aux calendes grecques l’abolition du salariat ?

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