PRINTEMPS PRÉCAIRES DES PEUPLES
Maria Kakogianni avec Satya Chatillon

Paru le 26.9.17
196 pages
12 euros
ISBN : 9791097088040

Paru le 26.9.17
196 pages
12 euros
ISBN : 9791097088040

« Occupations, tentes, habitations de fortune, des communes qui se font en faisant, et une promesse, accrochée comme un rêve sur une corde à linge après le déluge : que de tout cela surgiront de nouveaux réflexes politiques, comme hier celui de la grève générale. » Depuis le printemps arabe en 2011, émergences collectives et protestations à grande échelle se multiplient sur tous les continents. Or, à l’image du « printemps des peuples » en 1848, ces nouveaux soulèvements semblent précaires, leurs durées fragiles, hantées par les spectres de la capitulation et de la défaite. Alors que le dogme néolibéral ne cesse de répéter inlassablement « There Is No Alternative », la lutte pour percevoir ces nouveaux printemps nécessite peut-être de rendre précaire la manière de porter un regard ou construire un récit. Qu’est-ce qui fait « scène » et qu’est-ce qu’une scène « fait » ? Entre les mots et les dessins, le livre tisse quelques hypothèses fictionnelles sur ce long mars français pour que nos insomnies politiques puissent faire place à des nouvelles « rêvolutions ».

« Occupations, tentes, habitations de fortune, des communes qui se font en faisant, et une promesse, accrochée comme un rêve sur une corde à linge après le déluge : que de tout cela surgiront de nouveaux réflexes politiques, comme hier celui de la grève générale. » Depuis le printemps arabe en 2011, émergences collectives et protestations à grande échelle se multiplient sur tous les continents. Or, à l’image du « printemps des peuples » en 1848, ces nouveaux soulèvements semblent précaires, leurs durées fragiles, hantées par les spectres de la capitulation et de la défaite. Alors que le dogme néolibéral ne cesse de répéter inlassablement « There Is No Alternative », la lutte pour percevoir ces nouveaux printemps nécessite peut-être de rendre précaire la manière de porter un regard ou construire un récit. Qu’est-ce qui fait « scène » et qu’est-ce qu’une scène « fait » ? Entre les mots et les dessins, le livre tisse quelques hypothèses fictionnelles sur ce long mars français pour que nos insomnies politiques puissent faire place à des nouvelles « rêvolutions ».

PRINTEMPS PRÉCAIRES DES PEUPLES
Maria Kakogianni avec Satya Chatillon

Paru le 26.9.17
196 pages
12 euros
ISBN : 9791097088040

Paru le 26.9.17
196 pages
12 euros
ISBN : 9791097088040

« Occupations, tentes, habitations de fortune, des communes qui se font en faisant, et une promesse, accrochée comme un rêve sur une corde à linge après le déluge : que de tout cela surgiront de nouveaux réflexes politiques, comme hier celui de la grève générale. » Depuis le printemps arabe en 2011, émergences collectives et protestations à grande échelle se multiplient sur tous les continents. Or, à l’image du « printemps des peuples » en 1848, ces nouveaux soulèvements semblent précaires, leurs durées fragiles, hantées par les spectres de la capitulation et de la défaite. Alors que le dogme néolibéral ne cesse de répéter inlassablement « There Is No Alternative », la lutte pour percevoir ces nouveaux printemps nécessite peut-être de rendre précaire la manière de porter un regard ou construire un récit. Qu’est-ce qui fait « scène » et qu’est-ce qu’une scène « fait » ? Entre les mots et les dessins, le livre tisse quelques hypothèses fictionnelles sur ce long mars français pour que nos insomnies politiques puissent faire place à des nouvelles « rêvolutions ».

« Occupations, tentes, habitations de fortune, des communes qui se font en faisant, et une promesse, accrochée comme un rêve sur une corde à linge après le déluge : que de tout cela surgiront de nouveaux réflexes politiques, comme hier celui de la grève générale. » Depuis le printemps arabe en 2011, émergences collectives et protestations à grande échelle se multiplient sur tous les continents. Or, à l’image du « printemps des peuples » en 1848, ces nouveaux soulèvements semblent précaires, leurs durées fragiles, hantées par les spectres de la capitulation et de la défaite. Alors que le dogme néolibéral ne cesse de répéter inlassablement « There Is No Alternative », la lutte pour percevoir ces nouveaux printemps nécessite peut-être de rendre précaire la manière de porter un regard ou construire un récit. Qu’est-ce qui fait « scène » et qu’est-ce qu’une scène « fait » ? Entre les mots et les dessins, le livre tisse quelques hypothèses fictionnelles sur ce long mars français pour que nos insomnies politiques puissent faire place à des nouvelles « rêvolutions ».